Séminaires nationaux sur la gestion des eaux de ballast provenant de navires, organisés au Maroc et en Israël – 01/10/2012
Deux séminaires nationaux, dont le but était de sensibiliser aux problématiques de la gestion des eaux de ballast provenant des navires, ont été organisés par le REMPEC au Maroc et en Israël respectivement les 15-16 et 18-19 octobre 2012. Les séminaires, financés par le Programme intégré de coopération technique (ITCP) de l’OMI et le projet SafeMed II, financé par l’UE et mis en œuvre par le Centre dans la région méditerranéenne, ont été organisés en étroite collaboration avec le Projet [FEM/PNUD/OMI], de « Partenariats GloBallast » et les administrations respectives marocaines et israéliennes.
Ces séminaires font suite au séminaire national organisé par le REMPEC en Tunisie au mois de juin, financé par le Programme ITCP de l’OMI.
Ces activités de renforcement de capacités, dont le but est d’assister les Parties Contractantes à la mise en œuvre de la Stratégie méditerranéenne sur la gestion des eaux de ballast provenant des navires adoptée cette année, font partie intégrante du Programme d’activité du PNUE-PAM approuvé par la 17ème Réunion Ordinaire des Parties Contractantes à la Convention de Barcelone, et mis en œuvre par le REMPEC. Ces activités sont intégrées dans le Projet de Partenariat GloBallast, récemment prolongé jusqu’en 2016 qui couvre également le Méditerranée.
Des participants représentants différents acteurs nationaux ont amélioré leurs connaissances sur l’importance de réglementer la gestion des eaux de ballast provenant des navires, afin d’empêcher l’introduction d’organismes aquatiques nocifs dans leur environnement marin respectif. En plus de pouvoir se familiariser avec les dispositions de la Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires (Convention BWM) de 2004, les participants ont eu l’occasion d’échanger leurs points de vue concernant les aspects pratiques de la mise en œuvre de la Convention et se sont accordés sur les actions initiales à entreprendre en vue d’une ratification de la Convention.